Pourquoi prendre une assurance expatriation ?– Une histoire vraie

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Le bus du tour opérateur danois a tourné dans le parking en face de l'hôtel, notre point d’arrivée à Hurghada, Egypte. Je suis sorti du bus, dit mes adieux aux autres et ai sauté dans un bus local direction centre-ville de Hurghada - un trajet d'environ 20 minutes. Pendant que je montais la pente vers mon appartement, je me suis senti soulagé de rentrer à la maison, en particulier car j’allais pouvoir avoir des vêtements propres. Mais à peine à l'intérieur, tout a commencé ... J'ai passé de midi et 6 heures à faire des allers-retours entre le lit et les toilettes, d'abord d'une manière relativement contrôlée, puis diarrhées et vomissements. Puis vinrent les crampes d'estomac, presque comme si mes intestins étaient mis en charpie. J’étais en sueur, mon pouls était rapide. Lorsque j'ai découvert du sang dans mon vomi, je me suis dit que ça devait être sérieux.

Mon colocataire n'était pas là, et l'hôpital le plus proche était dans la ville voisine d'El Gouna, à environ 30-40 minutes de trajet en taxi de Hurghada. Mais je savais qu'il ne fallait pas rester seul dans l’appartement plus longtemps. A tâtons, j'ai pris mes affaires et j’ai trébuché jusqu'à la route principale tel un ivrogne. Le chauffeur de taxi ne voulait pas vraiment que je monte dans son taxi mais mon mélange d’anglais et d'arabe à suffit à lui faire comprendre que je n'étais pas ivre, juste désespéré de me rendre à l’hôpital.

Le voyage m'a semblé interminable, jusqu'à ce que nous arrivions à l'hôpital El Gouna, l'un des hôpitaux les plus modernes d’Egypte, avec un service d'urgence 24 heures. On m’a conduit en salle d'examen, et tout c’est passé très vite. À peine une heure plus tard, j'ai été admis et je me trouvais seul dans une chambre double avec - point important - un WC séparé. On m'a mis une perfusion remplie de liquide. Les médecins et infirmières n’ont pas arrêté de m’examiner, de prendre des échantillons, de m’administrer des médicaments, etc., je devais m'attendre à rester à l'hôpital pour quelques jours.

Quelques jours .... Ça m’a tout de suite rassuré, c’était comme si j'étais entre de bonnes mains, mais et pour le paiement ...? Mon assurance expatriation allait-elle couvrir les frais et aurais-je à payer d’abord et attendre un remboursement? Tous les traitements en Égypte exigent le paiement en espèces par le patient, ce qui est tout à fait juste dans un tel pays. Mais les moniteurs de plongée ne sont pas millionnaires .... J’ai pris mon téléphone portable et en me félicitant d’avoir gardé les détails de mon assurance expatriation IHI et ma carte d'assurance dans mon portefeuille. Ainsi, armé du numéro de téléphone d'urgence et de mon numéro de police, j'ai envoyé un texto à un ami au Danemark et lui ai demandé de contacter le service d'urgence 24 heures d’IHI au Danemark, en mon nom. Même cette tâche simple représentait trop d’efforts ; fatigué je suis tombé sur mon oreiller, et je me suis assoupi en remerciant les médicaments contre la douleur et les crampes. Peu de temps après, mon téléphone portable sonna. "Bonjour Heidi, c'est Thomas de IHI

au Danemark. J'ai compris, d’après votre ami que vous aviez besoin d'aide? ".

J'ai rarement été aussi heureux de recevoir un appel sur mon portable! Thomas m'a posé des questions sur les symptômes, où j'étais, les numéros de téléphone, de télécopieur, le médecin responsable, etc., et très vite a terminé l'appel avec un « Prenez soin de vous, nous nous occupons de tout. Je vais parler à l'un de nos consultants, mais il semble que votre problème est assez évident. Dites simplement au service comptabilité de l'hôpital que vous êtes couvert par une assurance internationale et que nous prendrons des dispositions nécessaires pour le paiement, autrement je vous rappelle dans la demi-heure. OK? »  Soulagé, j'ai posé le téléphone portable et suis retourné dormir, en sachant que la partie financière du problème était sous contrôle.

2-3 jours plus tard, je suis sorti de l'hôpital d’El Gouna, je ressemblais encore à une épave, mais la situation s'améliorait rapidement. Après une semaine au lit, chez moi, dans mon appartement, j'étais de retour au centre de plongée et de nouveau entièrement occupé à la formation de nouveaux plongeurs ou au guide des expérimentés. C'était la raison pour laquelle j’avais fait tout ce trajet depuis le nord glacial à l’Egypte pour passer mon année sabbatique loin des emplois normaux.

Tout c’est finalement terminé lorsque, en avril 2003 je suis retourné au Danemark et que j’ai envoyé les reçus originaux à IHI. Le service était à nouveau personnel et efficace, et même les frais supplémentaires de transport et autres ont été pris en charge; même si dans un pays comme l'Egypte il est difficile d'obtenir des reçus. J'ai été en mesure de donner les montants ainsi que des factures écrites à la main en arabe et une note de comparaison concernant les pratiques courantes dans le pays. C’était fini.

J'ai beaucoup voyagé pendant mes 31 années d'existence et je savais qu’il fallait prendre une assurance voyage avant même de partir en Egypte. Cependant je n'ai jamais eu affaire à une organisation aussi professionnelle qu’ IHI. Ils se sont concentrés sur le plus important au moment où la crise a éclaté. Ils m’ont déchargé de cette responsabilité, tout pris en charge en fonction de ce que je leur avais dit et m’ont laissé me concentrer sur mon rétablissement. Je n'avais aucune idée de ce qui se passait en coulisses, de toute façon c’était réglé. Professionnel, personnel et extrêmement efficace.

Je tiens à remercier tout le monde d’ IHI qui a été impliqué dans mon cas - vous avez su faire la différence. Je sais qui conseiller à mes amis et ma famille pour obtenir leur assurance expatriation......

Heidi Nexa